Qu’est-ce que la maladie de la tête droite du riz ? Cette maladie destructrice affecte le riz irrigué dans le monde entier. Aux États-Unis, la maladie du riz à tête droite constitue un problème important depuis les débuts de la culture du riz, au début des années 1900. Historiquement, la maladie de la tête droite du riz est répandue dans les anciens champs de coton où l’utilisation de pesticides a été mise en œuvre. Il semble que même si l’arsenic est en partie responsable, il existe également d’autres facteurs, notamment la présence excessive de matière végétale qui a été enfouie.
Apprenons-en davantage sur le riz atteint de la maladie de la tête droite.
Qu’est-ce que la maladie de la tête droite du riz ?
La maladie de la tête droite du riz peut affecter des endroits aléatoires disséminés dans un champ. Dans ce cas, il est facile à repérer car le riz atteint de la maladie de la tête droite est d’un vert beaucoup plus foncé que les plants de riz non affectés. Dans certains cas, cependant, la maladie du riz peut affecter des cultures entières.
La maladie est rarement trouvée dans les sols argileux, mais elle est plus fréquente dans le sable ou le limon. On reconnaît facilement quand un riz sain est prêt à être récolté. On pensait à l’origine que la maladie de la tête droite était une maladie transmise par les semences. Cependant, les botanistes ont déterminé qu’il s’agit d’une maladie qui se développe dans certaines conditions du sol.
Symptômes de la tête droite du riz
Le riz mûr atteint de la maladie de la tête droite du riz se tient droit car les têtes sont complètement vides, contrairement au riz sain qui s’affaisse sous le poids du grain. Les coques peuvent être déformées et prendre la forme d’un croissant. Ce symptôme est souvent appelé « tête de perroquet ».
Contrôler et prévenir la maladie de la tête droite du riz
La meilleure façon de prévenir la maladie du riz à tête droite est de planter des variétés moins sensibles, car certains types sont plus résistants.
Une fois qu’un champ a été touché, le meilleur recours est de drainer le champ et de le laisser sécher. C’est cependant délicat et le moment dépend des conditions météorologiques et des types de sol. Votre bureau de vulgarisation coopératif local est la meilleure source d’informations spécifiques à votre région.